Le Futuroscope passe à la vitesse supérieure en matière de développement durable
À l’occasion de la Journée Mondiale de l’Environnement, mercredi 5 Juin, le Futuroscope détaille ses actions écologiques, qui viennent conforter les mesures mises en œuvre depuis quelques années, récompensées en janvier dernier par l’obtention de la norme environnementale ISO 50001. Objectif : réduire son impact environnemental.
Une démarche Développement Durable ambitieuse
En matière d’économie d’énergie, le parc ambitionne de réduire sa consommation de 20% d’ici 2024. L’obtention de la certification ISO 50001 il y a quelques semaines vient saluer le modèle de management pour l’énergie, visant à optimiser les performances énergétiques.
En matière de déchets, le Futuroscope mise sur la valorisation de tous ses déchets d’ici fin 2020, avec l’étude d’un pré-tri sur site et l’installation d’une mini-déchetterie, et la réduction des déchets à la source. Il disposera de son propre centre de tri pour traiter les 1 200 tonnes de déchets produites chaque année sur le site.
Côté restauration, 77 % des matières premières sont déjà produites dans un rayon de moins de 250 kilomètres. Les cartes de restauration mettent également en avant les producteurs locaux, bœuf charolais et limousin, agneau du Poitou et légumes de Marigny, dans les établissements tels que la Cabane Perchée ou au sein du tout nouveau foodtruck dont la carte a été imaginée par le chef étoilé Thierry Marx.
Progression de la part des matières valorisées
Les déchets organiques sont valorisés dans une filière de méthanisation. Une réflexion sur le gaspillage alimentaire au restaurant d’entreprise et à Saveurs du Soleil, dans le cadre de la campagne « Mon resto responsable » dans la Vienne et Les Deux-Sèvres, est menée. Elle sera étendue à l’ensemble des restaurants du Futuroscope. Par ailleurs, près de la moitié des gobelets distribués au Futuroscope sont déjà réutilisables. Fin 2019, la totalité des gobelets le seront. Le parc met également en place des îlots de collecte de déchets compatibles Vigipirate, permettant le tri sélectif.
Réduction de la consommation énergétique
Deux objectifs étaient clairement affichés. Le premier, l’obtention de la certification ISO 50 001 – encore relativement rare dans les parcs d’attractions, cela a été officialisé en janvier 2019. Le second objectif, à moyen terme, consiste à réduire de 20% en quatre ans la consommation d’énergie du parc. Parmi les actions qui permettront d’y parvenir, on peut citer la mise en place d’un éclairage extérieur 100% LED d’ici à la fin 2023, l’isolation des toitures et la mise en place d’une plate-forme centralisée pour suivre au plus près l’ensemble des niveaux de consommation.
Intégration des énergies renouvelables
Elle est déjà commencée avec l’installation de plus de 120 kW de panneaux photovoltaïques, de quoi alimenter cinq maisons, installés sur la verrière de l’Arena. Il est par ailleurs prévu d’installer 500 kW de panneaux photovoltaïques supplémentaires dans les cinq ans.
Optimisation de la consommation d’énergie fossile
L’essentiel de cette consommation provenant des véhicules des visiteurs, le parc du Futuroscope veut faciliter les déplacements de ceux qui roulent en voiture électrique. L’installation de prises destinées à ce type de véhicules est donc programmée sur les parkings. La Gare TGV favorise aussi les déplacements par le rail pour rejoindre le parc.
Réduction de la consommation d’eau
Un management responsable de la consommation d’eau a été mis en place, notamment auprès des équipes de restauration. Les végétaux du parc sont aussi choisis en fonction de leur faible consommation d’eau.
Chiffres Clés :
Source : Futuroscope
Pailles en bambou, touillettes en bois, gobelets réutilisables pour les boissons froides distribuées en vente à emporter sur le parc, une première dans l’univers des parcs, déchets organiques envoyés en filière de méthanisation, électricité produite par 900m² de panneaux photovoltaïques : le Futuroscope s’engage à tous les niveaux pour réduire son empreinte écologique, sensibiliser ses personnels comme ses visiteurs. « Nous avons à cœur de développer, tant dans notre offre de loisirs que dans notre gestion au quotidien, une approche globale des questions environnementales. Dans Futuroscope, il y a Futur. Et la protection de l’environnement est un enjeu d’avenir pour notre planète. C’est dans notre ADN de sensibiliser nos visiteurs aux enjeux de demain », explique Rodolphe Bouin, Président du Directoire du Futuroscope.
Une démarche Développement Durable ambitieuse
En matière d’économie d’énergie, le parc ambitionne de réduire sa consommation de 20% d’ici 2024. L’obtention de la certification ISO 50001 il y a quelques semaines vient saluer le modèle de management pour l’énergie, visant à optimiser les performances énergétiques.
En matière de déchets, le Futuroscope mise sur la valorisation de tous ses déchets d’ici fin 2020, avec l’étude d’un pré-tri sur site et l’installation d’une mini-déchetterie, et la réduction des déchets à la source. Il disposera de son propre centre de tri pour traiter les 1 200 tonnes de déchets produites chaque année sur le site.
Côté restauration, 77 % des matières premières sont déjà produites dans un rayon de moins de 250 kilomètres. Les cartes de restauration mettent également en avant les producteurs locaux, bœuf charolais et limousin, agneau du Poitou et légumes de Marigny, dans les établissements tels que la Cabane Perchée ou au sein du tout nouveau foodtruck dont la carte a été imaginée par le chef étoilé Thierry Marx.
Progression de la part des matières valorisées
Les déchets organiques sont valorisés dans une filière de méthanisation. Une réflexion sur le gaspillage alimentaire au restaurant d’entreprise et à Saveurs du Soleil, dans le cadre de la campagne « Mon resto responsable » dans la Vienne et Les Deux-Sèvres, est menée. Elle sera étendue à l’ensemble des restaurants du Futuroscope. Par ailleurs, près de la moitié des gobelets distribués au Futuroscope sont déjà réutilisables. Fin 2019, la totalité des gobelets le seront. Le parc met également en place des îlots de collecte de déchets compatibles Vigipirate, permettant le tri sélectif.
Réduction de la consommation énergétique
Deux objectifs étaient clairement affichés. Le premier, l’obtention de la certification ISO 50 001 – encore relativement rare dans les parcs d’attractions, cela a été officialisé en janvier 2019. Le second objectif, à moyen terme, consiste à réduire de 20% en quatre ans la consommation d’énergie du parc. Parmi les actions qui permettront d’y parvenir, on peut citer la mise en place d’un éclairage extérieur 100% LED d’ici à la fin 2023, l’isolation des toitures et la mise en place d’une plate-forme centralisée pour suivre au plus près l’ensemble des niveaux de consommation.
Intégration des énergies renouvelables
Elle est déjà commencée avec l’installation de plus de 120 kW de panneaux photovoltaïques, de quoi alimenter cinq maisons, installés sur la verrière de l’Arena. Il est par ailleurs prévu d’installer 500 kW de panneaux photovoltaïques supplémentaires dans les cinq ans.
Optimisation de la consommation d’énergie fossile
L’essentiel de cette consommation provenant des véhicules des visiteurs, le parc du Futuroscope veut faciliter les déplacements de ceux qui roulent en voiture électrique. L’installation de prises destinées à ce type de véhicules est donc programmée sur les parkings. La Gare TGV favorise aussi les déplacements par le rail pour rejoindre le parc.
Réduction de la consommation d’eau
Un management responsable de la consommation d’eau a été mis en place, notamment auprès des équipes de restauration. Les végétaux du parc sont aussi choisis en fonction de leur faible consommation d’eau.
Un enjeu de mobilisation interne« Le développement durable doit continuer d’être un élément structurant et fédérateur pour nos équipes », souligne Christine de Samie, responsable environnement pour le parc. « En respectant les bonnes pratiques mises en évidence par une information interne comme éteindre la lumière ou les ordinateurs avant de partir par exemple, chacun se sent acteur de la démarche ». Le Futuroscope consacre 2 millions d’euros par an pour accompagner les actions de développement durable.
Chiffres Clés :
Source : Futuroscope